Petite info d'actualité.

En 1899, c'est une voiture électrique qui franchit pour la première fois la barre des 100 km/h, atteignant 105,88 km/h.
C'est la Jamais-Contente du Belge Camille Jenatzy.
Ce n'est qu'au cours des années 1920 et 1930
que la voiture à essence commence à supplanter la voiture électrique avant de s'imposer totalement.

Cliquez sur la photographie pour l'agrandir...

Une histoire d'actualité qui montre que la france n'est pas en reste
....

...
Après avoir creusé le sol sur une profondeur de 100 mètres, des
scientifiques Russes ont trouvé des traces de fils de
cuivre âgés de plus de 1000 ans et en sont arrivés à la conclusion que
leurs ancêtres avaient un réseau téléphonique interurbain à cette
époque.

 

Pour ne pas être en reste, les Américains ont creusé à plus de 200
mètres de profondeur le sous-sol de la mère-patrie
pour découvrir des traces de fibres optiques vieilles de 2000 ans,
confirmant que l'Amérique possédait un réseau de communications
digitales très avancé, à l'époque de Jésus et 1000 ans
avant les russes.

Une semaine plus tard, Chirac publiait un rapport mentionnant que des
scientifiques avaient creusé le doux sol de France
à une profondeur de 500 mètres et n'avaient absolument rien trouvé,
confirmant que 3000 ans avant Jésus Christ, tous les
Français avaient déjà un téléphone cellulaire et niquaient les
Américains.

Le régime saucisson : une libération

Oxbridge, 01/04/2003
Le saucisson ne fait pas grossir, le pâté et le fromage non plus. En fait, le gras lui-même ne fait pas grossir !
C'est l'incroyable nouvelle qu'annonce la très éminente revue britannique British Academical Review of Clinical Nutrition dans sa dernière édition.
Ray Solton et Lou McRoe de l'équipe de recherche du laboratoire Lipids and Metabolism ont fait cette hallucinante constatation :
ce n'est pas le gras qui fait grossir, mais son association aux légumes verts.

La salade fait prendre du poids
Les chercheurs d'Oxbridge ont mis en évidence une molécule LOT PW3 enrobant les lipides qui interagit fortement avec la chlorophylle
et provoque la prise de poids par le biais d'une rétention d'eau.
Ainsi, dans une association saucisson salade verte, c'est la rétention d'eau provoquée par l'interaction entre les lipides du saucisson
et la chlorophylle de la salade qui fait grossir.
L'ennemi n'est donc pas celui qu'on croit et toute la salade verte ou les haricots verts préparés
pour se déculpabiliser d'avoir avalé un plat de charcuterie sont bien les responsables de la prise de poids.
Un dîner composé de charcuterie et de fromage ne fait pas prendre un gramme !

Une révolution économique
Cette découverte laisse présager une véritable révolution : les fabriquants de produits artisanaux
que le dictat de la minceur bride depuis bien des années vont enfin prendre leur revanche.
Des entrées en bourse fulgurantes sont à prévoir.
De leur côté, les cabinets d'études de tendances prévoient que la couleur verte va quasiment disparaître des écrans publicitaires
dans les années à venir et que la couleur rose-saucisson à l'aïl sera celle qui fera vendre.
Mais ne faut-il pas envisager une réaction de la part des agriculteurs producteurs de légumes verts et des fabricants de produits lights ?
Quelle guerre de communication vont-ils inventer pour pouvoir continuer à nous vendre leurs salades ?

C'est un vieil homme de 80 ans qui va voir son docteur pour son check-up annuel (ordonnance pour des couches, nouveau dentier, sonotone dernier cri...).
Le médecin lui demande comment vont les choses.
-Je suis en pleine forme ! répond le vieillard.
Je sors avec une petite poule de 18 ans et je l'ai mise enceinte !
Qu'est-ce que vous pensez de ça, docteur ?

-Laissez moi vous raconter une histoire, lui répond le médecin.
C'est une histoire vraie. J'ai un ami qui est passionné de chasse, il n'a jamais manqué une saison.
Un jour, alors qu'il s'en allait chasser et qu'il était pressé, il se trompa et au lieu de prendre son fusil, il prit son parapluie.
Je tiens à préciser que cet ami est un peu con.
Alors qu'il se trouvait dans la forêt, il aperçut un ours qui fonçait sur lui.
Il saisit son parapluie, l'épaula et appuya sur la poignée.
Savez vous ce qu'il se passa ?
-Non, répondit le vieillard dubitatif (parce que les vieux sont souvent dubitatifs, on la leur fait pas à eux !)
-Et bien le grizzly tomba raide mort à ses pieds !
-C'est impossible ! s'insurgea le vieillard. Quelqu'un a du tirer à sa place...
-C'est exactement où je voulais en venir...

Il était une fois un roi qui voulait aller à la pêche.
Il appelle son météorologue et lui demande l'évolution pour les heures suivantes.
Celui-ci le rassure en lui affirmant qu'il pouvait y aller.
Le roi va tranquillement à la pêche car pas de pluie prévue.
Pour plaire à la reine il met ses plus beaux atours.
Sur le chemin, il rencontre un paysan monté sur son âne qui , en voyant le roi , dit :
« Seigneur mieux vaut que vous rebroussiez chemin car il va beaucoup pleuvoir dans peu de temps ! »
Bien sûr, le roi continue en pensant :
« Comment ce gueux peut-il mieux prévoir le temps que mon spécialiste diplômé grassement payé qui m'a indiqué le contraire.
Poursuivons...
Et c'est ce qu’il fait.. Mais il se met bientôt à pleuvoir à torrents.
Le roi rentre trempé, la reine se moque de le voir dans un si piteux état.
Furieux, le roi revient au palais et congédie illico son météorologue, puis il convoque le paysan lui offrant le poste vacant...
Mais le paysan refuse en ces termes :
« Seigneur, je ne suis pas celui qui comprend quelque chose dans ces affaires de météo et de climat, mais je sais que si les oreilles de mon âne sont baissées cela signifie qu'il va pleuvoir… ! »
Et le roi embauche l'âne...
C'est ainsi que commença en FRANCE la coutume de recruter des ânes pour les postes de conseillers les mieux payés.
C'est depuis ce moment, que fut décidé de créer une école : l' E.N.A. (l'École Nationale des Ânes) et ses diplômés, dont nous pouvons mesurer, tous les jours, les brillantes compétences
Le plus rigolo c'est que en lisant le nom de cette école à l'envers E.N.A devient A N E.
Que dire de plus

C'est un Chinois qui vient d'ouvrir un restaurant en face d'un épicerie et il s'y rend pour faire ses courses :
"Bonjoul je suis votle nouveau voisin du lestaulant en face et, j'ai besoin de noullitule poul mes chats !".
"Ouais, ouais... C'est ça et tu vas servir cela à tes clients ! Viens avec tes chats et tu auras tes conserves ! On ne me la fait pas à moi hein !".
Le mec traverse, revient avec ses chats et reçoit ses conserves.
Trois jours plus tard, il débarque à nouveau :
"Bonjoul l'épicier, j'ai besoin de noullitule poul chien maintenant !".
"Allez, maintenant c'est pour des chiens ! Tu me prends pour un abruti ou quoi ? Viens avec tes chiens et tu auras tes conserves ! Non mais...".
Pareil que pour les chats, il se pointe avec les chiens et reçoit ses conserves.
Le lendemain, le Chinois entre dans l'épicerie avec un gros sac poubelle super lourd et le dépose sur le comptoir. Le sac se déchire et de la m.... se répand partout, en éclaboussant l'épicier :
"Mais tu es fou ou quoi !!! Mon magasin est plein de m.... maintenant !!!"
"Pas glave monsieul l'épicier ! Je veux juste du papier toilette".

Citation d'Albert Einstein : "La folie, c'est de faire toujours la même chose et de s'attendre à un résultat différent."

Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère.
De ce mariage, est né un fils aux yeux pers.
(*pers = entre vert et bleu, on ne prononce pas le s).

Monsieur est le père, Madame est la mère.
Les deux font la paire.

Le père, quoique père, est resté Lamère,
mais la mère, avant d'être Lamère était Lepère.

Le père est donc le père sans être Lepère,
puisqu'il est Lamère et la mère est Lamère, bien que née Lepère.

Aucun des deux n'est maire.
N'étant ni le maire ni la mère, le père ne commet donc pas d'impair en signant Lamère.
Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire.

Il sera le maire Lamère, aux yeux pers,
fils de Monsieur Lamère, son père, et de Mademoiselle Lepère, sa mère.

La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd.

Aux obsèques, le père de la mère du maire, le grand-père Lepère,
vient du bord de mer et marche de pair avec le maire Lamère, son petit-fils.

Les amis du maire, venus pour la mère, cherchent les Lamère,
ne trouvent que le maire et Lepère,
père de la mère du maire, venu de la mer, et chacun s'y perd !"

Ne dit-on pas que la langue française est difficile à apprendre ? Voici un exemple de ses subtilités.

Visite chez le notaire :)

Une vieille demoiselle se présente chez un notaire pour enregistrer l'acte d'achat de sa maison récemment acquise.
Le notaire l'invite à s'installer, appelle son clerc et lui demande textuellement :
"Veuillez, s'il vous plait, ouvrir la chemise de Mademoiselle, examiner son affaire et si les règles ne s'y opposent pas, faites une décharge pour qu'elle entre en jouissance immédiate."

On n'a toujours pas rattrape la vielle fille ??
Oh my god !!! ??

Charles CROS (1842-1888)

Le hareng saur

A Guy.

Il était un grand mur blanc - nu, nu, nu,
Contre le mur une échelle - haute, haute, haute,
Et, par terre, un hareng saur - sec, sec, sec.

Il vient, tenant dans ses mains - sales, sales, sales,
Un marteau lourd, un grand clou - pointu, pointu, pointu,
Un peloton de ficelle - gros, gros, gros.

Alors il monte à l'échelle - haute, haute, haute,
Et plante le clou pointu - toc, toc, toc,
Tout en haut du grand mur blanc - nu, nu, nu.

Il laisse aller le marteau - qui tombe, qui tombe, qui tombe,
Attache au clou la ficelle - longue, longue, longue,
Et, au bout, le hareng saur - sec, sec, sec.

Il redescend de l'échelle - haute, haute, haute,
L'emporte avec le marteau - lourd, lourd, lourd,
Et puis, il s'en va ailleurs - loin, loin, loin.

Et, depuis, le hareng saur - sec, sec, sec,
Au bout de cette ficelle - longue, longue, longue,
Très lentement se balance - toujours, toujours, toujours.

J'ai composé cette histoire - simple, simple, simple,
Pour mettre en fureur les gens - graves, graves, graves,
Et amuser les enfants - petits, petits, petits.

"Le petit endroit" d'Alfred de Musset

Vous qui venez ici dans une humble posture
De vos flancs alourdis décharger le fardeau
Veuillez quand vous aurez soulagé la nature
Et déposé dans l'urne un modeste cadeau
Epancher dans l'amphore un courant d'onde pure
Et sur l'autel fumant placer pour chapiteau
Le couvercle arrondit dont l'auguste pointure
Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau

Pour ceux qui cherchent à se cultiver un peu plus......

La prochaine fois que vous vous laverez les mains et que vous trouverez la température de l'eau pas vraiment agréable, ayez une pensée émue pour nos ancêtres...

Voici quelques faits des années 1500 :

La plupart des gens se mariaient en juin, parce qu'ils prenaient leur bain annuel en mai et se trouvaient donc encore dans un état de fraîcheur "raisonnable" en juin.
Mais évidemment, à cette époque, on commençait déjà à puer légèrement et c'est pourquoi la mariée tentait de masquer un tant soit peu son odeur corporelle en portant un bouquet.

C'est à cette époque qu'est née la coutume du bouquet de la mariée.

Pour se baigner, on utilisait une grande cuve remplie d'eau très chaude.
Le Maître de maison jouissait du privilège d'étrenner l'eau propre ; suivaient les fils et les autres hommes faisant partie de la domesticité
puis les femmes et enfin les enfants....Les bébés fermaient la marche.
À ce stade, l'eau était devenue si sale qu'il aurait été aisé d'y perdre quelqu'un... D'où l'expression « Jeter le bébé avec l'eau du bain » !

En ces temps-là, les maisons avaient des toits en paille, parfois même la maison n'était qu'un toit.
C'était le seul endroit où les animaux pouvaient se tenir au chaud.
C'est donc là que vivaient les chats et les petits animaux (souris et autres bestioles nuisibles), dans le toit.
Lorsqu'il pleuvait, celui-ci devenait glissant et il arrivait que les animaux glissent hors de la paille et tombent du toit.
D'où l'expression anglaise " It's raining cats and dogs " ("Il pleut des chats et des chiens").

Pour la même raison, aucun obstacle n'empêchait les objets ou les bestioles de tomber dans la maison.
C'était un vrai problème dans les chambres à coucher où les bestioles et déjections de toute sorte s'entendaient à gâter la literie.
C'est pourquoi on finit par munir les lits de grands piliers afin de tendre par-dessus une toile qui offrait un semblant de protection.
Ainsi est né l'usage du ciel de lit ; bien évidemment, les plus pauvres devaient s'en passer...

À cette époque, on cuisinait dans un grand chaudron perpétuellement suspendu au-dessus du feu.
Chaque jour, on allumait celui-ci, et l'on ajoutait des ingrédients au contenu du chaudron.
On mangeait le plus souvent des légumes, et peu de viande.
On mangeait ce pot-au-feu le soir et laissait les restes dans le chaudron.
Celui-ci se refroidissait pendant la nuit et le cycle recommençait le lendemain.
De la sorte, certains ingrédients restaient un bon bout de temps dans le chaudron...
Les plus fortunés pouvaient s'offrir des assiettes en étain.
Mais les aliments à haut taux d'acidité avaient pour effet de faire migrer des particules de plomb dans la nourriture, ce qui menait souvent à un empoisonnement par le plomb (saturnisme) et il n'était pas rare qu'on en meure.
C'était surtout fréquent avec les tomates ce qui explique que celles-ci aient été considérées pendant près de 400 ans comme toxiques.
Le pain.
Les ouvriers en recevaient le fond carbonisé, la famille mangeait la mie et les hôtes recevaient la croûte supérieure, bien croquante.

Pour boire la bière ou le whisky, on utilisait des gobelets en plomb.
Cette combinaison mettait fréquemment les buveurs dans le coma pour plusieurs jours !

Et quand un ivrogne était trouvé dans la rue, il n'était pas rare qu'on entreprenne de lui faire sa toilette funèbre.
Il restait ainsi plusieurs jours sur la table de la cuisine, où la famille s'assemblait pour boire un coup en attendant que l'olibrius revienne à la conscience : d'où l'habitude de la veillée mortuaire.

La Grande-Bretagne est en fait petite et à cette époque, la population ne trouvait plus de places pour enterrer ses morts ;du coup, on déterra des cercueils et on les vida de Mais lorsqu'on entreprit de rouvrir ces cercueils, on s'aperçut que 4 % d'entre eux portaient des traces de griffures dans le fond, ce qui signifiait qu'on avait enterré là quelqu'un de vivant.

Dès lors, on prit l'habitude d'enrouler une cordelette au poignet du défunt reliée à une clochette à la surface du cimetière ; et l'on posta quelqu'un toute la nuit dans les cimetières avec mission de prêter l'oreille et c'est ainsi que naquit là l'expression « sauvé par la clochette ».

C'est une grenouille en marbre sculptée sur un bénitier à l'entrée de la cathédrale de Narbonne qui est à l'origine de l'expression imagée ‘’grenouille de bénitier’’.

Qui a donc dit que l'histoire était ennuyeuse ?

Nous sommes maîtres de la terre
Nous nous croyons des presque Dieu
Et pan ! le nez dans la poussière
Qu'est-ce que nous sommes : des pouilleux

Et là-haut les oiseaux
Qui nous voient tout petit, si petits
Tournent, tournent sur nous
Et crient : Au fou ! au fou !

Tout fout l'camp [Raymond Asso]

 

©2023 Patrick Pochon